LES HOSPITALIERS
Chaque année nous sommes invité à se retrouver à Lourdes à l’occasion d’ un pèlerinage avec les pèlerins malades et handicapés.
La participation à cette démarche de foi pour les malades ne pourrait pas avoir lieu, si des hospitaliers bénévoles ne venaient se mettre à leur service.
Les hospitaliers savent qu’ils ont comme première mission, d’ être entièrement disponible pour le service de nos frères et sœurs malades.
Les exigences qui sont demandées, sont puisées dans l’esprit de Bernadette qui a reçu la grâce de voir et de parler pendant 18 fois à la Vierge Marie à la grotte de Massabielle. Ils seront donc plein d’attention, pour vivre le service dans la joie, l’amitié. Ils reçoivent un service, car il n’y a pas de « petite service », ils l’accomplissent avec tout le cœur.
Ils répondent à l’appel du Christ « Tout ce que vous avez fait aux plus petit d’entre les miens c’est à moi que vous l’avez fait » (Mat. 25-45).
Les hospitaliers sont reconnaissables à leur tenue. Ces tenues sont un signe d’unité, de disponibilité, de visibilité pour le service des uns et des autres, des personnes souffrantes. Nous venons des milieux professionnels très différents. La tenue doit faciliter le dialogue avec les malades, l’exactitude, dans les déplacements, pour les cérémonies dans le sanctuaire est
Primordiale.
Les consignes données par les responsables sont autant d’attention, car nos frères souffrants ont besoin « de bras et de jambes » pour les aider.
Nos malades sont suivis dans tous les gestes de la vie quotidienne mais aussi par des médecins et de nombreux infirmières qui leur dispensent les soins dont ils ont besoin.
L’hospitalier est celui qui prie, il n’y a pas d’action sans regarder la personne de notre Seigneur Jésus.
Tous les bénévoles se souviennent de cette phrase de Saint Exup2ry dans Le petit prince : « Ce n’est pas l’argent qui donne de la valeur au monde mais le cœur ».µ
Alors nous serons signe d’espérance.
Selon Daniel Gastou, Pré
Chaque année nous sommes invité à se retrouver à Lourdes à l’occasion d’ un pèlerinage avec les pèlerins malades et handicapés.
La participation à cette démarche de foi pour les malades ne pourrait pas avoir lieu, si des hospitaliers bénévoles ne venaient se mettre à leur service.
Les hospitaliers savent qu’ils ont comme première mission, d’ être entièrement disponible pour le service de nos frères et sœurs malades.
Les exigences qui sont demandées, sont puisées dans l’esprit de Bernadette qui a reçu la grâce de voir et de parler pendant 18 fois à la Vierge Marie à la grotte de Massabielle. Ils seront donc plein d’attention, pour vivre le service dans la joie, l’amitié. Ils reçoivent un service, car il n’y a pas de « petite service », ils l’accomplissent avec tout le cœur.
Ils répondent à l’appel du Christ « Tout ce que vous avez fait aux plus petit d’entre les miens c’est à moi que vous l’avez fait » (Mat. 25-45).
Les hospitaliers sont reconnaissables à leur tenue. Ces tenues sont un signe d’unité, de disponibilité, de visibilité pour le service des uns et des autres, des personnes souffrantes. Nous venons des milieux professionnels très différents. La tenue doit faciliter le dialogue avec les malades, l’exactitude, dans les déplacements, pour les cérémonies dans le sanctuaire est
Primordiale.
Les consignes données par les responsables sont autant d’attention, car nos frères souffrants ont besoin « de bras et de jambes » pour les aider.
Nos malades sont suivis dans tous les gestes de la vie quotidienne mais aussi par des médecins et de nombreux infirmières qui leur dispensent les soins dont ils ont besoin.
L’hospitalier est celui qui prie, il n’y a pas d’action sans regarder la personne de notre Seigneur Jésus.
Tous les bénévoles se souviennent de cette phrase de Saint Exup2ry dans Le petit prince : « Ce n’est pas l’argent qui donne de la valeur au monde mais le cœur ».µ
Alors nous serons signe d’espérance.
Selon Daniel Gastou, Pré